Qu'ils soient en orbite autour de la terre, qu'ils voyagent dans l'espace ou qu'ils se trouvent sur des accélérateurs terrestres géants à haute énergie, les détecteurs de particules sont les yeux et les oreilles des scientifiques engagés dans l'exploration du monde enchanté des phénomènes microscopiques quantiques.

Les détecteurs de particules nous accompagnent au quotidien dans des domaines aussi divers que l'imagerie médicale, le séquençage de l'ADN ou la communication par fibre optique.

ESIPAP est la préparation parfaite pour les concepteurs, constructeurs et opérateurs des détecteurs de particules de demain. Le cours 1 traite de la physique sous-jacente, tandis que le cours 2 couvre les sujets avancés et les applications.

Inventés au début du XXe siècle, les accélérateurs de particules sont devenus les bêtes de somme de la physique nucléaire et de la physique des particules et les plus grands instruments scientifiques jamais construits par l'homme.

Aujourd'hui, plus de 45 000 accélérateurs sont déployés dans le monde. Ils existent sous de nombreuses formes et constituent des outils essentiels pour l'étude de la matière condensée et des biomolécules.

Peu connus du grand public, ils ont pourtant un impact sur notre vie quotidienne dans des domaines aussi divers que le diagnostic et le traitement médical, les industries des polymères et des composants électroniques, la sécurité publique et la sécurité alimentaire.

JUAS est le programme post-universitaire idéal pour les concepteurs et les exploitants des accélérateurs de particules de demain. Le cours 1 traite de la physique sous-jacente, tandis que le cours 2 s'intéresse à la technologie et aux applications des accélérateurs.

Partie intégrante du programme I.FAST financé par l'UE, dont l'ESI est un partenaire associé, le défi I.FAST rassemble des étudiants très motivés de différentes disciplines pour trouver des idées nouvelles et innovantes sur la façon dont les accélérateurs et leurs technologies connexes pourraient être utilisés pour résoudre des problèmes de société.

Le thème est "Les accélérateurs pour l'environnement". Les étudiants viennent des domaines du marketing/communication, du droit, des études environnementales et, bien sûr, de la physique et de l'ingénierie. Le programme de dix jours se terminera par la présentation de leur travail d'équipe au CERN.

Les écoles de BioHealth Computing ont été créées par Philippe Sabatier, un humaniste et scientifique visionnaire, un éducateur passionné qui a consacré ses exceptionnelles qualités humaines et professionnelles à la préparation des générations futures d'innovateurs scientifiques à travers une série de programmes européens.

Les progrès de la médecine de précision permettent aux prestataires de soins de santé d'aller au-delà de l'approche "taille unique" et de proposer et planifier des soins individualisés aux patients atteints de cancer. La caractérisation moléculaire des tumeurs et de leur micro-environnement, ainsi que l'appréciation de leur hétérogénéité spatiale et temporelle, sont à la pointe de l'oncologie de précision.

L'oncologie de précision incite les participants à repenser les approches, les méthodes et les modèles actuels dans une perspective globale, en intégrant l'IA et le Big Data issus de l'imagerie médicale, des tests génétiques et des mesures de résultats cliniques.

Comprenant la complexité de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'école propose une expérience transformationnelle qui permet d'ouvrir les portes de la médecine 4P appliquée à la BPCO.

Computational Medicine met en lumière une approche systémique pour l'étude des mécanismes sous-jacents des phénotypes de la BPCO associés à un mauvais pronostic de la maladie. En se basant sur les mécanismes de la maladie, plutôt que sur l'approche actuelle des syndromes, l'école propose une description multi-échelle des phénotypes de la BPCO résultant de réseaux de composants dysfonctionnels.

Dans le cadre du programme "Couverture sanitaire universelle 2030 (CSU/UHC)" de l'Organisation mondiale de la santé, UHC School Lab s'adresse aux acteurs médico-sociaux qui explorent la manière dont les innovations technologiques et sociétales peuvent contribuer à sa réalisation et à son développement avec un accès effectif aux soins de santé de base pour tous les citoyens.

L'objectif de l'école est d'identifier et d'accélérer les projets qui démontrent la capacité potentielle des nouvelles technologies à transformer les systèmes de santé, contribuant ainsi à la réalisation du CSU/UHC. Les institutions de l'OMS et leurs partenaires suivent les innovations conçues par l'école dans le cadre d'un observatoire mondial de l'innovation en santé.